Fils et petit-fils de médecin de campagne, Henri Guisan naît le 21 octobre 1874, à Mézières
Sa généalogie

Ses études
Ecoles à Mézières, Collège à Lausanne, Gymnase à Lausanne, Université à Lausanne (médecine, théologie, agronomie)
Puis à Zofingue

Une école de recrues à Bière en 1894
et en 1897 épouse Mary Doelker, née en 1875

Sa vie militaire


De 1914 à 1939
Le bataillon 24
En août 1914, le Vaudois Henri Guisan commande le bataillon de fusiliers 24, formé d’Ajoulots qu’on appelle le “bataillon de la goutte”. Chef sévère, mais réaliste, il lutte contre l’alcoolisme. (voir catégorie anecdotes)

1916: Lieutenant-colonel, il visite les tranchées françaises, il fait la connaissance de Pétain
1919: son bataillon est en service d’ordre à Zurich, suite à la grève générale
1926: il est nommé divisionnaire
1932: nommé commandant du corps 2, suisse-alémanique
1933: nommé commandant de corps 1, bilingue
1934: assiste à des manœuvres italiennes, fait la connaissance de Mussolini
1939: nommé général le 30 août (Source: Archives fédérales)

Ses effectifs
Son état-major personnel est composé de 95 membres
4 véhicules
16 chevaux
2 trains de commandement (Source: Centre Général Guisan)
La propriété

fut édifiée entre 1867 et 1874 par Christ-Charles Doelker, négociant en blé, père de Mary, future épouse d’Henri Guisan.
Ce domaine était destiné à l’habitat et à l’exploitation agro-viticole.
La demeure est flanquée de 2 pavillons.
Les chevaux d’Henri Guisan étaient installés dans le pavillon est, alors que les étables occupaient l’annexe ouest.
Jeune officier, Henri s’y installa en 1902 avec sa famille, il y resta jusqu’à son décès en 1960.
Son fils, le colonel Henry Guisan, accompagnera sa mère Mary jusqu’à son décès en 1964, lui-même, détenant un droit de résidence, décédait en 1990.
En 1971, Verte Rive devient propriété de la Confédération. Le 22 janvier 1975 la SVO (Société vaudoise des officiers) en prendra officiellement possession. (Source: Centre Général Guisan)
Chez le Général Guisan

Les funérailles du Général Guisan le 12 avril 1960


Au revoir mon Général

